Mû par une curiosité toujours en éveil et une indéfectible attirance vers l’imprévu, le batteur et percussionniste Antonin Leymarie se fraie une voie aussi singulière que sinueuse dans le paysage musical français, oscillant librement entre plusieurs territoires – jazz, électro, musiques africaines, (post-)rock, musique contemporaine – au rythme de ses envies.
Riche d’un bagage bigarré, il s’est attaché à développer un langage tout aussi hétéroclite, prenant part à de fertiles collaborations dans le champ du spectacle vivant (compagnie Les Colporteurs, Joël Pommerat), ou au sein de palpitantes aventures collectives (le Surnatural Orchestra, l’Imperial Quartet, le Magnetic Ensemble) résolument transfrontalières, frondeuses et fiévreuses, chacune cherchant par ses moyens propres à dépasser les limites et à atteindre des états de transe.
Dans son aventure solitaire HYPERACTIVE LESLIE, tel un authentique homme-orchestre, Antonin met en branle un dispositif percussif sur mesure, méthodiquement agencé pour permettre d’engendrer une musique à la fois spontanée et sophistiquée, éminemment organique dans la conception de laquelle n’entre ni ordinateur ni séquence préenregistrée, sur disque comme sur scène.
Jérôme Provençal
Antonin Leymarie : Batterie augmentée
Maxime Baron : Lumière
Hugo Heredia : Son
Cavalcade : Production
La Compagnie Impérial réunit des musiciens créateurs et improvisateurs parmi les plus actifs de la scène française : Gérald Chevillon, Joachim Florent, Antonin Leymarie, Rémy Poulakis et Damien Sabatier. Ils sont à l’origine – ou ont participé – aux ensembles musicaux les plus novateurs tels que Surnatural Orchestra, Tous Dehors, Jean Louis, le collectif Coax…
L’approche résolument contemporaine de la musique associée à leur force scénique saisissante et leur plaisir de partage en font un collectif unique en son genre. La Compagnie Impérial va puiser dans tous les recoins de la sphère musicale actuelle en mêlant avec audace l’énergie du rock, le lyrisme de l’opéra, la finesse du jazz, les mélodies populaires ou les rythmiques mandingues. La diversité des influences s’exprime aujourd’hui autour de quatre formules aux identités affirmées : Impérial Quartet, Impérial Pulsar, Impérial Orphéon et le GRIO – GRand Impérial Orchestra.
Gérald Chevillon : Saxs
Joachim Florent : Basse
Antonin Leymarie : Batterie
Damien Sabatier : Saxs
Un “power trio” contemporain
La pulse , magic & enivrante
Dans la lignée de Dawn Of Midi, Nerve (Jo Jo Mayer ), Beak… Dans un courant entre musique minimaliste et musique électronique, O.K.Echo improvise la plupart du temps, en construisant des cellules rythmique ou harmonique, qui s’ajoute et se complète entre les trois musiciens. Un jeu des timbre et du contrepoint s’opère et évolue dans un espace et un temps donné.
Libre et organique, le trio se laisse toute la liberté d’interagir avec le moment et le lieu. Ancré d’une base solide de « reflex » de travail autours de la pulse, de repetition de « situation » de jeu : si la basse module dans cet tonalité la guitare peut soit la suivre, ajouter une deuxième lecture de cette tonalité, faire du son sans tonalité ou bien ajouter une mélodie, courte, de l’ordre du riff qui fait grossir le son, et continuer l’évolution collective. C’est d’abord un groupe de partage, sans qu’aucun n’est le leadership, on est tous les trois responsables de ce que le morceau continu sa construction.
Comme un pari de chaque instant, O.K.Echo tiens son originalité dans sa fragilité. C’est ce que ressent l’auditeur : on est entrain de construire ce moment, là tout de suite maintenant. Une mise en place humaine, d’une musique empreint d’électronique qui touche et donne sa présence.
O.K.Echo tient sa base dans le courant minimal, autant de musique minimaliste (Reich, La Monte Young, Terry Riley) que dans la techno minimal (Robert Hood, Jeff Mils, Carl Craig).
Giani Caserotto : Guitare
Gael Petrina : Basse
Antonin Leymarie : Batterie
Anima est une fresque romantique, abstraite et impressionniste, pleine de ce qu’on est ici.
Pas de genre proposé, pas de style imposé, une discussion entre des corps et des sons.
De l’organique, de l’analogique, du réel dans un rêve de transposition.
La séquence chorégraphique sera comme une ligne de conduite invariable mais sensible aux mêmes modifications qu’un son. Le corps pourrait y être alors déformé, amplifié, retardé, trouverait des teintes plus métalliques ou feutrées, en écho ou en dissonance avec les autres corps qui vibreraient près de lui.
De la même manière que l’univers sonore qui les anime change de tempo, de tonalités, devient cyclique, les corps se réorganisent, se confondent avec ceux des musiciens, se reforment en une multitude de possibilités et de nuances.
Le couple anima-animus joue un rôle important dans la « psychologie des profondeurs » de Carl Gustav Jung. Il s’agit d’une résurgence de deux termes du corpus de la philosophie médiévale. On les rencontre chez de nombreux auteurs, notamment Guibert de Nogent, où généralement ils désignent, respectivement, l’âme (anima) et l’esprit (animus) selon une hiérarchie de dignité ontologique : corps, âme, puis esprit. Le niveau intermédiaire de l’âme (anima) correspond au monde des images et semble réaliser un lien entre les deux autres niveaux.
Performance Musique
et Danse Hip-Hop (krump)
Antonin Leymarie : Conception
Mellina Boubetra & Thomas Chopin : Assistants mouvements et mise en scène
Ashley Biscette, Alexandre « Cyborg » Moreau, Alou Sidibé : Danseurs
Giani Caserotto : Guitare
Antonin Leymarie : Batterie
Gaël Petrina : Basse
Hugo Heredia : Son
Maxime Baron : Lumière
Cavalcade : Production
Avec le soutien de la Drac Ile-de-France, de la Région Ile de France, de l’ADAMI, du Théatre de Vanves, de la Dynamo Banlieues Bleues
Original et envoutant, Heaven c’est un trio original et généreux. Un live improvisé ou le chant du possible se fabrique avec la multitude des timbres du trio. guitare, batterie augmenté, flûte et Synthé basse.
Un envoutement, invitation à tripper, danser et se lâcher. Bienvenue dans le monde paradisiaque d’HEAVEN .
Joce Mienniel : Flûtes, Ney, Guimbardes
Maxime Delpierre : Guitare
Antoine Leymarie : Batterie, Électronique
In Bìlico compte de multiples traductions ; « entre deux », « au bord du gouffre », « sur la sellette », « entre la vie et la mort » ; un écho à la pratique du fil et à cette recherche constante de l’équilibre. L’écriture chorégraphique témoigne de ce moment où tout bascule, une allégorie de cet instant où l’on passe d’un état à l’autre. Un monde dystopique, inspiré de la science-fiction et de l’univers futuriste et graphique d’Enki Bilal. Dans une esthétique contemporaine, une ambiance musicale électro ; les artistes invitent les spectateurs à se projeter dans une lecture poétique des situations mises en scène sur le fil.
In Bìlico est un diptyque mettant en scène un passage, une mutation. 3 individus se trouvent dans un endroit suspendu, sorte de laboratoire posé au bord du monde, un ailleurs possible où le temps semble s’être arrêté. Ils sont là pour qu’une transformation s’opère. Guidés par le son magnétique d’un personnage énigmatique faisant figure de passeur, d’ange ou de gardien, ils évoluent en équilibre instable ; confrontés à la nécessité de s’entraider pour ne pas chuter et trouver ensemble le chemin de leur liberté.
→ Site web
Julia Figuière, Julien Posada, Florent Blondeau : Écriture, interprétation
Julien Lambert : Co-écriture, mise en scène
Antonin Leymarie : Conception sonore, musique
Jean Christophe Caumes : Conception scénographique
Eric Noël : Construction
Mathieu Rouquette : Régie G
Morgan Romagny : Régie son
Alix Veillon : Création lumière
Solenne Capmas : Création costumes
Dalila Cortes : Regard chorégraphique
Dialaw Project a pour thème central la construction du port de Ndayane, projet titanesque vendu par les Emirats au gouvernement sénégalais, s'étendant de Dakar à Toubab Dialaw. Cette ancienne terre de la tragédie de l'esclavage, outragée par la colonialité, voit arriver une nouvelle menace qui porte cette fois le titre d'émergence, mot-valise d'un afro-capitalisme triomphant. Traces, mémoires, histoire, écologie, esthétique, poétique du vivant, Dialaw Project questionne le terme "développement" et le confronte aux récits des personnes vulnérabilisées par les choix politiques de quelques élites.
Une superbe compagnie produite par le Bureau format. Une chance pour moi de les avoirs rencontrés. Un niveau de comedien et de mise enscene incroyable, une sensibilté de tous , trop content de faire partie de l’aventure !
Le Blues de Dialaw
teranga 1 avec synthe-
Avec la compagnie Lousi brouillard, Joel Pommmerat defends un theatre incroyable, une qualité , une précision une integrité toujours au rendez vous.
C’est un travail de toute une équipe, autant dans la mise en scene,que le jeu des comédiens, les lumieres, la scenographie, les costumes et bien sur le son. Un tout qui donne une ampleur et une pertinace dans les pièces.
C’est une belle collaboration qui m’a apporté enorment dans la composition et la vision d’un son au theatre, d’un son dans une scene de la vie.
Tres fier d’y participer.
Cercles-62_01-tutti
Fabuleuse3-Piano-guit-chant
En 1996, Agathe et Antoine, pendant l'exploitation d'Amore Captus, fondent la compagnie Les Colporteurs. Ils font construire avec leurs complices du moment, le chapiteau dont ils rêvent et créent leur premier spectacle, Filao, inspiré du roman d'Italo Calvino Le baron perché. Ce spectacle, qui mêle cirque, théâtre, danse et musique a été représenté 220 fois entre 1997 et 2000 en France et à l’étranger.
J’ai participé à leur premiere création : FILAO, fondateur pour moi dans la pratique de la musique dans un specatcle.
Une aventure sur tellement de belles années de chapiteau, de tournée et de partage de vie.
Agathe et Antoine ont toujurs défendus la musique Live au cirque. et c’est tellement mieux !!
Mû par une curiosité toujours en éveil et une indéfectible attirance vers l’imprévu, le batteur et percussionniste Antonin Leymarie se fraie une voie aussi singulière que sinueuse dans le paysage musical français, oscillant librement entre plusieurs territoires – jazz, électro, musiques africaines, (post-)rock, musique contemporaine – au rythme de ses envies.
Riche d’un bagage bigarré, il s’est attaché à développer un langage tout aussi hétéroclite, prenant part à de fertiles collaborations dans le champ du spectacle vivant (compagnie Les Colporteurs, Joël Pommerat), ou au sein de palpitantes aventures collectives (le Surnatural Orchestra, l’Imperial Quartet, le Magnetic Ensemble) résolument transfrontalières, frondeuses et fiévreuses, chacune cherchant par ses moyens propres à dépasser les limites et à atteindre des états de transe.
Dans son aventure solitaire HYPERACTIVE LESLIE, tel un authentique homme-orchestre, Antonin met en branle un dispositif percussif sur mesure, méthodiquement agencé pour permettre d’engendrer une musique à la fois spontanée et sophistiquée, éminemment organique dans la conception de laquelle n’entre ni ordinateur ni séquence préenregistrée, sur disque comme sur scène.
Jérôme Provençal
Antonin Leymarie : Batterie augmentée
Maxime Baron : Lumière
Hugo Heredia : Son
Cavalcade : Production
La Compagnie Impérial réunit des musiciens créateurs et improvisateurs parmi les plus actifs de la scène française : Gérald Chevillon, Joachim Florent, Antonin Leymarie, Rémy Poulakis et Damien Sabatier. Ils sont à l’origine – ou ont participé – aux ensembles musicaux les plus novateurs tels que Surnatural Orchestra, Tous Dehors, Jean Louis, le collectif Coax…
L’approche résolument contemporaine de la musique associée à leur force scénique saisissante et leur plaisir de partage en font un collectif unique en son genre. La Compagnie Impérial va puiser dans tous les recoins de la sphère musicale actuelle en mêlant avec audace l’énergie du rock, le lyrisme de l’opéra, la finesse du jazz, les mélodies populaires ou les rythmiques mandingues. La diversité des influences s’exprime aujourd’hui autour de quatre formules aux identités affirmées : Impérial Quartet, Impérial Pulsar, Impérial Orphéon et le GRIO – GRand Impérial Orchestra.
Gérald Chevillon : Saxs
Joachim Florent : Basse
Antonin Leymarie : Batterie
Damien Sabatier : Saxs
Un “power trio” contemporain
La pulse , magic & enivrante
Dans la lignée de Dawn Of Midi, Nerve (Jo Jo Mayer ), Beak… Dans un courant entre musique minimaliste et musique électronique, O.K.Echo improvise la plupart du temps, en construisant des cellules rythmique ou harmonique, qui s’ajoute et se complète entre les trois musiciens. Un jeu des timbre et du contrepoint s’opère et évolue dans un espace et un temps donné.
Libre et organique, le trio se laisse toute la liberté d’interagir avec le moment et le lieu. Ancré d’une base solide de « reflex » de travail autours de la pulse, de repetition de « situation » de jeu : si la basse module dans cet tonalité la guitare peut soit la suivre, ajouter une deuxième lecture de cette tonalité, faire du son sans tonalité ou bien ajouter une mélodie, courte, de l’ordre du riff qui fait grossir le son, et continuer l’évolution collective. C’est d’abord un groupe de partage, sans qu’aucun n’est le leadership, on est tous les trois responsables de ce que le morceau continu sa construction.
Comme un pari de chaque instant, O.K.Echo tiens son originalité dans sa fragilité. C’est ce que ressent l’auditeur : on est entrain de construire ce moment, là tout de suite maintenant. Une mise en place humaine, d’une musique empreint d’électronique qui touche et donne sa présence.
O.K.Echo tient sa base dans le courant minimal, autant de musique minimaliste (Reich, La Monte Young, Terry Riley) que dans la techno minimal (Robert Hood, Jeff Mils, Carl Craig).
Giani Caserotto : Guitare
Gael Petrina : Basse
Antonin Leymarie : Batterie
Anima est une fresque romantique, abstraite et impressionniste, pleine de ce qu’on est ici.
Pas de genre proposé, pas de style imposé, une discussion entre des corps et des sons.
De l’organique, de l’analogique, du réel dans un rêve de transposition.
La séquence chorégraphique sera comme une ligne de conduite invariable mais sensible aux mêmes modifications qu’un son. Le corps pourrait y être alors déformé, amplifié, retardé, trouverait des teintes plus métalliques ou feutrées, en écho ou en dissonance avec les autres corps qui vibreraient près de lui.
De la même manière que l’univers sonore qui les anime change de tempo, de tonalités, devient cyclique, les corps se réorganisent, se confondent avec ceux des musiciens, se reforment en une multitude de possibilités et de nuances.
Le couple anima-animus joue un rôle important dans la « psychologie des profondeurs » de Carl Gustav Jung. Il s’agit d’une résurgence de deux termes du corpus de la philosophie médiévale. On les rencontre chez de nombreux auteurs, notamment Guibert de Nogent, où généralement ils désignent, respectivement, l’âme (anima) et l’esprit (animus) selon une hiérarchie de dignité ontologique : corps, âme, puis esprit. Le niveau intermédiaire de l’âme (anima) correspond au monde des images et semble réaliser un lien entre les deux autres niveaux.
Performance Musique
et Danse Hip-Hop (krump)
Antonin Leymarie : Conception
Mellina Boubetra & Thomas Chopin : Assistants mouvements et mise en scène
Ashley Biscette, Alexandre « Cyborg » Moreau, Alou Sidibé : Danseurs
Giani Caserotto : Guitare
Antonin Leymarie : Batterie
Gaël Petrina : Basse
Hugo Heredia : Son
Maxime Baron : Lumière
Cavalcade : Production
Avec le soutien de la Drac Ile-de-France, de la Région Ile de France, de l’ADAMI, du Théatre de Vanves, de la Dynamo Banlieues Bleues
Original et envoutant, Heaven c’est un trio original et généreux. Un live improvisé ou le chant du possible se fabrique avec la multitude des timbres du trio. guitare, batterie augmenté, flûte et Synthé basse.
Un envoutement, invitation à tripper, danser et se lâcher. Bienvenue dans le monde paradisiaque d’HEAVEN .
Joce Mienniel : Flûtes, Ney, Guimbardes
Maxime Delpierre : Guitare
Antoine Leymarie : Batterie, Électronique
→ Site web
In Bìlico compte de multiples traductions ; « entre deux », « au bord du gouffre », « sur la sellette », « entre la vie et la mort » ; un écho à la pratique du fil et à cette recherche constante de l’équilibre. L’écriture chorégraphique témoigne de ce moment où tout bascule, une allégorie de cet instant où l’on passe d’un état à l’autre. Un monde dystopique, inspiré de la science-fiction et de l’univers futuriste et graphique d’Enki Bilal. Dans une esthétique contemporaine, une ambiance musicale électro ; les artistes invitent les spectateurs à se projeter dans une lecture poétique des situations mises en scène sur le fil.
In Bìlico est un diptyque mettant en scène un passage, une mutation. 3 individus se trouvent dans un endroit suspendu, sorte de laboratoire posé au bord du monde, un ailleurs possible où le temps semble s’être arrêté. Ils sont là pour qu’une transformation s’opère. Guidés par le son magnétique d’un personnage énigmatique faisant figure de passeur, d’ange ou de gardien, ils évoluent en équilibre instable ; confrontés à la nécessité de s’entraider pour ne pas chuter et trouver ensemble le chemin de leur liberté.
Julia Figuière, Julien Posada, Florent Blondeau : Écriture, interprétation
Julien Lambert : Co-écriture, mise en scène
Antonin Leymarie : Conception sonore, musique
Jean Christophe Caumes : Conception scénographique
Eric Noël : Construction
Mathieu Rouquette : Régie G
Morgan Romagny : Régie son
Alix Veillon : Création lumière
Solenne Capmas : Création costumes
Dalila Cortes : Regard chorégraphique
Dialaw Project a pour thème central la construction du port de Ndayane, projet titanesque vendu par les Emirats au gouvernement sénégalais, s'étendant de Dakar à Toubab Dialaw. Cette ancienne terre de la tragédie de l'esclavage, outragée par la colonialité, voit arriver une nouvelle menace qui porte cette fois le titre d'émergence, mot-valise d'un afro-capitalisme triomphant. Traces, mémoires, histoire, écologie, esthétique, poétique du vivant, Dialaw Project questionne le terme "développement" et le confronte aux récits des personnes vulnérabilisées par les choix politiques de quelques élites.
Une superbe compagnie produite par le Bureau format. Une chance pour moi de les avoirs rencontrés. Un niveau de comedien et de mise enscene incroyable, une sensibilté de tous , trop content de faire partie de l’aventure !
Le Blues de Dialaw
teranga 1 avec synthe-
Avec la compagnie Lousi brouillard, Joel Pommmerat defends un theatre incroyable, une qualité , une précision une integrité toujours au rendez vous.
C’est un travail de toute une équipe, autant dans la mise en scene,que le jeu des comédiens, les lumieres, la scenographie, les costumes et bien sur le son. Un tout qui donne une ampleur et une pertinace dans les pièces.
C’est une belle collaboration qui m’a apporté enorment dans la composition et la vision d’un son au theatre, d’un son dans une scene de la vie.
Tres fier d’y participer.
Cercles-62_01-tutti
Fabuleuse3-Piano-guit-chant
En 1996, Agathe et Antoine, pendant l'exploitation d'Amore Captus, fondent la compagnie Les Colporteurs. Ils font construire avec leurs complices du moment, le chapiteau dont ils rêvent et créent leur premier spectacle, Filao, inspiré du roman d'Italo Calvino Le baron perché. Ce spectacle, qui mêle cirque, théâtre, danse et musique a été représenté 220 fois entre 1997 et 2000 en France et à l’étranger.
J’ai participé à leur premiere création : FILAO, fondateur pour moi dans la pratique de la musique dans un specatcle.
Une aventure sur tellement de belles années de chapiteau, de tournée et de partage de vie.
Agathe et Antoine ont toujurs défendus la musique Live au cirque. et c’est tellement mieux !!